1.0 Prologue: la planque

Jour 27 aprés contamination. An 1.

Le jour vient de se lever sur Bordeaux. Depuis votre planque, au second étage du 72, cours Victor Hugo, vous effectuez vos activités matinales habituelles: vérification des barricades de la porte d'entrée, rangement des matelats, et vérifications des équipements de bataille pour chacun. En effet, vous savez trés bien que si un jour, les zombies venaient à rentrer dans l'appartement, vous n'en auriez que pour quelques secondes à réagir pour prendre vos affaires et fuir, afin de sauver vos vies.

Cela fait 6 jours que vous êtes coincé dans cet appartement de 24m². Lorsqu'au 21ème jour de contamination, les hordes de mort-vivants arrivèrent à Bordeaux, ce fut la panique. Bon nombre de gens fuirent. Vous, vous n'en avez pas eu l'opportunité. Ne pouvant aller nul part, vous vous êtes jeté sur la première porte venue, et avec quelques inconnus, vous vous êtes barricadé dans cet abris de fortune.

Jérome, 34 ans, ancien ingénieur, est déjà attablé devant son bol de café, et ses deux tranches de pains. (C'est pas parce que le monde part en boule que je vais changer mes habitudes, dit-il à chaque fois)



Jérome: "Salut les gars! P'tit déj? J'ai fait du pain. La machine a failli laché, le mini générateur qu'on a trouvé commence à faire des siennes.
Par contre, j'ai une mauvaise nouvelle: Il va falloir tirer à la courte-paille pour savoir qui va sortir pour faire le plein de nouriture. A moins que vous n'aimiez manger de la choucroute pendant des semaines."

Vous êtes toujours en train de discuter lorsque vous entendez des cris, et des coups de feu dans l'escalier. Apparement, il y a du monde en train de se battre au rez de chaussée.
Parmis ces bruits, vous arrivez à distinguer des voix:

Une voix en bas: "Allez vous faire foutre, bande de batards!"
Une autre voix: "Merde, il m'a mordu! Casse toi, vite."





Ni une, ni deux, Jérome cours dans l'appartement. Il attrape sa sacoche d'ordinateur dans laquelle il fourre une bouteille d'eau, et une boite de choucroute.



Jérome: "Si ces monstres montent, il faut être prêt à se barrer en vitesse."

Que faites vous?

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'Dés 100' : 53, 6

Marien:
Dans l'un des placards du 2eme appartement, certainement celui d'une jeune femme, tu trouves des sacs à main. Parmis eux, beaucoup de petits sacs, mais l'un d'eux, un sac de plage, te semble assez grand pour pouvoir contenir quelques affaires. Cependant, il ne possède pas de bandoulière. Tu devras donc te le trimballer à la main.



Dans ce meme appartement, la table est en bois avec quatre pieds assez léger. Avec ta vigueur, et ton jet de dés, tu arraches donc avec aisance (voir meme trop) l'un des pieds. Tu te retrouve donc avec une sorte de batte en bois maniable à deux mains.





Tommy:
Tu te risques à descendre quelques marches jusqu'à atteindre cette armoire que vous avez jeté dans les escaliers le premier jour.
Le spectacle que tu y vois te donne des sueurs froides:
Au rez de chaussée, deux hommes, un jeune, et un plus vieux, sont aux prises avec trois zombies. C'est la première fois que tu vois un mort-vivant d'aussi pres. Le plus jeune est en train de se faire dévorer les entrailles par deux des zombies, et le vieux se défend comme il le peut avec un fusil de chasse, en repoussant les assauts du troisième zombie.


Au fait, comment vous vous répartissez le couteau et le pied de biche?

Thomas, à moitié affalé sur un canapé, écoutait d'une oreille distraite les autres parler, quand soudain des coups de feux éclatèrent, tout près. Aussitôt, il fut sur ses pieds et grinça des dents :

"Merde, c'est quoi encore ce bordel ??"

Tommy annonça alors qu'il allait voir ce qui se passait.

"Fait gaffe Tommy !" Lança t-il, avant de se tournez vers l'ingénieur et de demander nerveusement "Où est ce que t'as mis le pied de biche et le couteau, Jérome ??"

Jérome: "Les voila. N'oubliez pas les dernières recommandations du gouvernement: éviter tout contact, et surtout éviter les morsures."

Hal met 2 boite de choucroute dans son magnifique sac de plage, et rejoint tommy sur l'escalier.

Il s'arrête un temps, histoire de comprendre la situation.

"les gars faut qu'on tire le vieux vers nous !, y'en a un qui l'aide à passer par dessus l'armoire pendant que les autres repoussent les zombies !"

Ayant remarqué Tommy dans les escaliers, le gars repousse le zombie en lui donnant un coup de crosse, et court dans l'escalier.




Le vieux: Aidez moi, par pitié!

Les trois zombies se relèvent lentement, et se mettent à monter avec difficulté les marches. Cela vous permet de tracter le gars.

Vous n'avez le droit qu'à un essai. Que ceux qui le souhaitent fasse un jet en vigueur.

"passez moi votre main, monsieur!"

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'Dés 100' : 75

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'Dés 100' : 80

"Évitez tout contact, évitez tout contact .. En ce moment le gouvernement doit être quelque part en Polynésie ou à la Réunion ! Sûr que eux ils vont évitez les contacts ! Grmmbl.." Grogna Thomas à l'intention de jérôme avant de s'emparer du pied de biche, bien plus utile selon lui qu'un couteau.

Le jeune homme surgit sur le palier et vit que Tommy tentait de faire passer un homme agé par dessus l'armoire. Il se précipita jusqu'à l'armoire et tenta d'aider Tommy en agrippant l'homme par un bras.

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'Dés 100' : 95

Ecoutant les appels à l'aide de l'homme poursuivi par les zombies, Tommy et Thomas tente de le faire passer par dessus l'armoire dans les escaliers. Malgrés cela, alors que vous le tiriez vers vous, les zombies arrivent et l'attrapent par les jambes.



Le vieux: Non, pitié, non, Aaahhh!

Marien tente de donner des coups, mais la plupart tombent à coté.

jet de dés en habileté pour le vieux qui se débat.

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'Dés 100' : 66

Dommage...

Malgrés ses coups de pieds, le vieil homme est projeté en arrière par les goules assoiffées de sang, qui le dévorent sans retenue sous vos yeux horrifiés.



Le vieux: Aaargghhh!!

Que faites-vous?

"tant pis pour le vieux... on s'arrache, par les toits si il y a un velux, ou par le balcon, mais il ne faut pas traîner ici... on pourrait peut être mettre le feu dans le couloir? on crame un matelas et hop! le feu, c'est purificateur dans tout les textes sacrés..."