2.0 Ben et Sarah: votre planque

Benjamin inspecte le barrage tout en jetant plusieurs coup d'oeil en arrière, afin de guetter les zombies restés derrière eux.
Il repère la radio dans la jeep mais laisse Sarah se diriger vers cette dernière.

Fait attention à toi! lança-t-il par crainte que le barrage ne soit pas aussi désert qu'il en a l'air.

Il fouille dans son coin et trouve un sac à dos contenant de la nourriture, une gourde d'eau et une pelle pliable. Benjamin confie le sac à Sarah, occuper à faire fonctionner la radio, ayant déjà le sien.

Alors, il y a quelqu'un qui réponds ? demanda-t-il dans l'espoir qu'ils ne soient plus seuls...

En tout cas une chose est sûre, il ne faut mieux pas qu'ils traînent trop longtemps dans les environs, pensa-t-il, inquiet de voir les zombies se rapprocher lentement d'eux!

Tandis que Sarah bidouille les canaux de la radio, Benjamin s'approche d'elle en demandant si ça marche.

Quelle n'est pas leur surprise lorsqu'ils entendent dans les haut parleurs de la ville la voix de Benjamin:

"Alors, il y a quelqu'un qui réponds ?"

En essayant un autre canal, Ils tombent sur un message enregistrer:

"Habitant de la région Aquitaine! Les Mort-vivants sont partout. L'armée tient un dernier bastion de survivants à Bayonne. Si vous êtes en état de voyager, veuillez à tout pris vous rendre dans cette ville. Nous pourrons alors assurer votre protection."

Benjamin d'abord surpris d'entendre sa propre voix raisonnait tout autour de lui, se retourne pour s'assurer qu'il ne rêve pas.

C'est quoi ce bordel? lança-t-il soudain avant d'entendre le message enregistrer et de l'écouter attentivement.

Au premier son, Benjamin avait cru que quelqu'un leur avait répondu mais très vite il compris qu'ils ne s'agissait là que d'un message pré-enregistré.

Tu crois que c'est fiable comme message? demanda-t-il à Sarah. Car ça pourrait être une issue à notre cauchemar si l'on se rendait là-bas. Il nous suffirait de retourner à la voiture ou d'en trouver une autre pour se rendre à Bayonne!

Les Zombies sont de plus en plus proche.
Comme vous avez perdu votre temps à discuter, vous n'avez pas vu que vous étiez encerclés. Cependant, alors que vous vous apprétez à défendre cherement votre vie, des coups de feu retentissent.

TAC TAC TAC...
PAN PAN...

Une brèche s'ouvre dans les rangs des Goules.




Gendarme: "Ramenez vous par ici !"